Elle n’est pas très ensoleillée. Il fait souvent froid et les femmes sont pour la plus part chaussées de bottes. Les hommes s’enroulent le cou d’écharpes. Il n’y a pas de moto-taxi et faire des courses en taxi coûtent cher car ils fonctionnent à la minuterie et payé en Euro, la monnaie en vigueur dans
Hamza Issa Ahmat Maouloud, est un jeune artiste tchadien qui a vécu en Libye pendant de nombreuses années. « À l’école primaire, j’ai été particulièrement intéressé par la discipline artistique et principalement le dessin. Je dessine des jarres, des volailles car j’aime le volume et les détails. Même pendant mes heures libres je dessinais pendant
Nos grands-mères, autrefois, arborèrent la mode dans un look plutôt traditionnel qui s’illustrai à travers des tresses naturelles, un maquillage souvent limité au khôl et le tchakine. Ce dernier est une technique esthétique qui consiste à teindre les lèvres supérieures à l’aide des aiguilles et de poudre noirs. Nos “iya” aimaient elles aussi, les jolis pairs de
POSITIVE est une association tchadienne qui vise à promouvoir l’artisanat et l’autonomisation des femmes au Tchad par l’éducation et l’auto emploi. Pour cette jeune association autorisée à fonctionner en 2015, il est fondamental que des artistes peintres, photographes, et artisanes de différentes corporations culturelles s’associent pour exercer ensemble la créativité artistique contemporaine. Pour la coordinatrice
Gaoui est un village situé à quelques kilomètres à l’Est de N’djamena, sur les bordures du fleuve Chari. Les habitants du village sont appelés les kotokos, constitués en majorité de pêcheurs. Les femmes kotoko quant à elles s’excellent dans la poterie et la culture maraichère. Elles forment par ailleurs le poumon économique du village basé
Le centre d’Apprentissage de la Langue française a organisé en aout 2015 un atelier d’écriture de nouvelles suite à un appel candidature lancé au mois de juillet de la même année